Rappelez-vous ! Nous avions participé au concours « S’il te plaît, dessine-moi la liberté, l’égalité et la fraternité » de l’association « Le crayon ».
L’attentat contre Samuel Paty a frappé tous les esprits. Un enseignant assassiné après un cours sur la liberté d’expression, c’est un choc !
Ce dessin de Chaunu résume bien l’événement : après la barbarie, rappelée par l’ombre qui tient son couteau, nous avons eu besoin de nous rassembler autour des valeurs des Lumières, les valeurs républicaines symbolisées ici par Marianne, pour rester fort-es et uni-es.
Liberté !
La liberté d’expression ici attaquée, est un bien cher, que nous devons défendre. Les hommes et les femmes doivent pouvoir exprimer leurs opinions sur tous les sujets (religieux, mais aussi politiques, sociaux, etc), sans se sentir menacé-es.
Égalité !
Entre citoyen-nes, quelque soit leur sexe, leur origine, leur religion, leur orientation sexuelle, etc.
Fraternité !
La solidarité entre les citoyen-nes est importante et permet d’aider celles et ceux qui traversent des épreuves.
Nous avons commencé par un brainstorming, afin de réfléchir ensemble à tout ce qu’évoquaient ces valeurs pour nous.
Enfin, nous avons travaillé sur quelques représentations en image de ces belles valeurs.
Par exemple, après les attentats de novembre 2015, un street-artist, Shepard Fairey, a représenté une grande Marianne sur des murs du XIIIe arrondissement de Paris. Cette oeuvre s’intitule « Liberté, égalité, fraternité ».
Nous avons également constaté que ces valeurs avaient été reprises sur des timbres, il y a quelques années.
Alors, nous aussi, nous avons voulu les mettre en images !
Et pour cela, nous nous sommes appuyés sur une association, Le Crayon, qui est née après les « terribles journées de janvier 2015 et suite à la mobilisation citoyenne du 11 de ce même mois (…) avec pour projet de défendre la liberté d’expression à travers la promotion du dessin de presse. » (http://www.lecrayon.net/Le-crayon/Histoire)
Le crayon avait alors symbolisé la liberté d’expression, qui avait déjà été durement attaquée. D’où le logo de l’association :
Cette association, qui regroupe des dessinateurs-rices, des journalistes, des enseignant-es, organise tous les ans un concours de dessin, et cette année, le thème était : « S’il te plait… Dessine-moi l’article 1 de la déclaration Universelle des Droits de l’Homme : Liberté, égalité, fraternité ! », ce qui nous a permis de noter que ces valeurs n’étaient pas seulement françaises, mais universelles, c’est-à-dire pour le monde entier !
On m’a demandé de faire ce dessin, pour identifier notre salle (d’ou le mots MLDS en gros) et pour montrer l’un de mes talents : le dessin ♥.
Ce dessin représente un personnage de dessin animé japonais. Il s’agît ici d’un personnage nommé Killua, ce dernier a la capacité de maîtriser la »magie » de la foudre. Il mène un long voyage à travers le monde pour devenir HUNTER ( = chasseur de primes, de monstres et autres catégories).
Une galerie pour découvrir mes autres dessins :
Cliquez sur la première photo pour accéder à la galerie.
Portfolio
Cet article et ces dessins ont été faits par Nathan DUBOIS
Pourquoi Barbie ne pourrait pas exister dans la vie ?
Les propositions des jeunes :
« Elle a un corps mal proportionné. »
« Elle a les chevilles trop fines pour supporter le poids de son corps ».
« Elle est trop parfaite ! »
« C’est l’idéal féminin et masculin. »
« Elle influence les petites filles qui aimeraient lui ressembler.’
« Il lui manque des articulations. »
Pas mal… Pas mal…. on s’en approche !
Un indice…
Photo Nickolay Lamm dans « Libération »
Un autre indice…
Que pensez-vous de cette poupée à qui on a donné proportionnellement les mensurations de Barbie ?
Galia Slayen et sa barbie (crédit: Galia Slayen)
Réponse : Barbie a un tour de tête égal à son tour de taille. Ce qui est impossible ! De plus, elle ne pourrait pas tenir sur ses jambes, n’aurait pas assez de place pour tous ses organes vitaux et ne pourrait même pas tenir sa tête !
Conclusion : Barbie ne peut pas être un idéal de beauté féminin et masculin. Il faut arrêter de se comparer à Barbie ou aux filles que l’on voit dans les magazines qui n’existent pas non plus puisque leurs images sont photoshopées ! C’est pareil pour les garçons !
Atelier animé par Catherine Baillet, Coordonnatrice MLDS pour les jeunes du Pôle Persévérance MLDS de Sens
Pour aller plus loin, PlayList » Santé : Estime de soi/Image de soi » sur la chaîne YouTube du Pôle Persévérance MLDS de Sens
On a fait 2 groupes de 3 personnes pour faire l’escape game . On a répondu à 4 épreuves de 4 séries, Certaines étaient plus faciles que d’autres. Il y avait des énigmes de calcul, de repérages, de géographie, de labyrinthe, de déduction, de raisonnement logique et un puzzle.
Pour trouver le coffre de Mr crâne on devait trouver la ville où il était caché et pour pouvoir ouvrir le coffre , il fallait trouver un code à 4 chiffres . Et dans celui-ci, on a trouvé des surprises ( des friandises, des livres et des petites sculptures d’animaux ) .
C’était pas mal, mais certaines questions étaient un peu difficiles. On a réussi le calcul, le labyrinthe, les villes… d’autres questions étaient plus dures. Par exemple, il fallait associé certaines spécialités culinaires avec des régions de France ou trouver des expressions françaises, ect…
On aimerai bien en refaire un mais sur un autre thème : ça nous apprend différemment la géographie, les maths et le français. Ca nous apprend aussi la persévérance.
Tous les élèves furent concernés par cette même énigme , « Où était donc cacher le coffre secret de Mister Crâne ? » On peut même dire Mister Crâne d’oeuf !
Pour se faire, nous dûmes nous séparer en 2 groupes et résoudre une multitude d’énigmes. Ces dernières étaient sous 4 catégories de 4 énigmes différentes ; toutes de difficultés et de niveaux différentes : réflexion, observation, calcul et autre .Toutes ces énigmes une fois résolues nous ont permis de découvrir la cachette et le code du coffre et ainsi nous permettre de l’ouvrir.
LOUIS : « J’ai vraiment bien aimé cet Escape Game, j’ai réfléchi sur toutes les épreuves, j’ai particulièrement adoré le côté compétition et énigmes qui me font perdre la tête. »
Nathan : « Cet «exercice» nous permet de persévérer dans le sens où il nous faut rester concentrer jusqu’au bout pour réussir ces énigmes. Il est fort amusant et ludique, je conseille cette activité. »
Irem: « Je trouve que cet escape game nous a aidé à nous entraider en équipe et réflechir tous ensemble. Ca nous a appris aussi à partager et échanger nos idées. C’était super amusant, il faut faire des activités comme ça de temps en temps. »
Article écrit par Maëva, Irem, Jamil, Louis et Nathan.
Escape game créé par Catherine Baillet, Coordonnatrice MLDS et Eve FOUBERT, Volontaire Service Civique.
Escape game proposé aux jeunes du pôle Persévérance MLDS de Sens et à une classe de 3ème du collège Mallarmé
Créations collages réalisées par les jeunes du Pôle Persévérance de Sens Atelier animé par Catherine Baillet, Coordonnatrice MLDS et Eve , volontaire Service civique.
L’édition 2020 du Printemps des Poêtes n’a pas pu avoir lieu à cause du confinement.
Madame Julie LACOUR, professeure de Lettres Modernes a eu la bonne idée de décaler ce projet à l’automne.
Le thème de cette année « Le courage « . De belles poèsies couvrent les murs et les fenêtres du collège Mallarmé pour nous donner du courage en cette rentrée particulière.
Découvrez ici quelques exemples des productions des élèves du Collège Mallarmé de Sens : Cliquez sur une photo pour lancer la galerie photo.
D’autres photos à venir sur le site du collège Mallarmé.
Les poèmes des élèves de 4ème 1, 4ème 5, 3ème 1 et 3ème 3
sur les murs et fenêtres de l’établissement
avec leure professeure de Français
Julie LACOUR
Découvrez ici les productions des jeunes du Pôle Persévérance de Sens :
Écrire un poème est un acte de peur
Comme un pot de peinture rouge plein de sang
Des personnes qui dorment sans respirer
Un cri de petite fille retentit dans la nuit
Un cadavre retrouvé au Havre
Sûrement un barge qui s’est suicidé
Louis
Écrire un poème est un acte d’amour
Comme la poudre qui traîne sur tes paupières
Tes fesses en carton qui me tentent
Ta main qui ressemble à celle de hulk
Ton visage doux comme un doudou
Ton cœur qui m’adoucit dans mon jacuzzi
Irem
Écrire un poème c’est un acte de liberté
comme sauter dans le torrent de nos pensées
sans avoir peur de les partager
Aigle espiègle et majestueux
montagnes vaillantes s’élevant vers les cieux
enfant rêvant et créant librement
un Monde si grand où le temps
ne s’écoule jamais sans
traverser ces irréelles frontières
Nathan
Ecrire un poème est un acte de courage
Comme aider une personne qui est dans le danger
qui est enfermée dans une maison en feu
Cours pour combattre
Assister une personne tombée de l’escalier
Accourir en cas d’accidents de la circulation
Feux de forêt qui affolent la faune
Protéger les civils des risques industriels
Jamil
Ecrire un poème est un acte de gourmandise
Comme finir le plat à la petite cuillère
Ou gouter la pâte du gâteau
Le poulet doré et mariné
Le ribs caramélisés
Les bonbons qui fond dans la bouche
La glace délicieuse au citron
Les frites qui croustillent
Maëva
Atelier animé par Julie LACOUR, professeure de Lettres Modernes auprès des jeunes du Pôle Persévérance de Sens et des élèves de 4ème 1, 4ème 5 ,3ème 1 et 3ème 3 du collège Mallarmé.
Voici, au détour d’un bilan, ce que chacun, individuellement et sur post it, a exprimé de ce qu’il retient de son apprentissage de la semaine. Les post it sont au fur et à mesure affichés au mur : c’est notre mur d’apprentissage.
« Cette semaine, j’ai appris à écrire un poème en accrostiche, j’ai appris aussi à trouver des images fortes, des choses qui ne vivent pas, avec lesquelles je fais une comparaison avec moi-même ou bien un « truc » vivant.
J’ai appris à calculer des pourcentages aussi. En informatique, j’ai appris à faire des cadres autour de mots. J’ai appris à lire un plan plus facilement. »
« Ce que j’ai appris :
Les maths ne sont pas si durs et chiants.
Le français tant que ça ne touche pas la littérature, c’est top.
Les profs sont super sympas et prennent le temps d’expliquer les choses.
Et d’après Mme O, je serai un « milicien » de part ma vision de certaines choses, ce qui est trop cool !! »
« J’ai appris les pourcentages en maths. J’ai appris à écrire un poème en français.
J’ai appris les droits du citoyens et revu la citoyenneté. »
« J’ai appris à faire un poème, appris à faire des produits en croix, refaire un CV différent, partager ce que l’on fait chez nous, notre caractère.
J’ai aussi appris à moins stresser devant un patron et à me présenter devant lui pour le stage. »
Les jeunes du pôle persévérance de Sens.
Atelier animé par Catherine Baillet, coordinatrice MLDS.