Un cadeau, pourquoi pas ?

Célibataire ou en couple, la Saint Valentin arrive ! Préparez vos roses et déclarez votre flamme. Ami(e)s ou amoureux(se), tous seront ravis.

La Saint Valentin est une fête qui vient de la croyance populaire selon laquelle le 14 février representerait le coup d’envoi de la saison des amours des oiseaux. Depuis 1496, Saint Valentin est devenu le Saint patron des amoureux. Peu à peu, elle s’est imposée dans le monde comme leur fête.

Nous vous souhaitons une joyeuse Saint Valentin ! 💋

Article rédigé par Élise Martinez.

Le sous-marin du collège

Nuits-st-Georges est parraine le sous-marin nucléaire d’attaque (SNA) le Rubis. Mme Dell’unto, Mme Alves, M. Pellerin et M.Gambey  ont organisé un voyage scolaire pour les élèves de troisième du 20 au 23 janvier. Durant ce séjour, les  30 élèves sélectionnés ont visité la base navale de Toulon. En effet, pour participer à ce voyage exceptionnel, les élèves ont été choisis parmi tous les troisièmes volontaires. Ils ont été sélectionnés grâce à leur motivation et leur engagement.

Les élèves ont visité le sous-marins, le Porte Hélicoptères Amphibie (PHA) appelé Dixmude, le porte-avion « Charles de Gaules » et de nombreuses autres embarcations de la marine nationale. Ils ont aussi visité le musée de la marine et l’école de navigation.

Charlesde-Gaulle 

Dixmude 

 

M. Pellerin, professeur d’art plastique, a organisé un travail de photographie. Les élèves devaient prendre des photos qui correspondaient aux thèmes suivants :

– trace de vie,

– trace de guerre,

– trace de mer,

– trace graphique.

 « Ce fut un travail compliqué pour lequel il fallait être attentif et trouver des petits détails qui seraient idéaux pour ce projet. »

Les meilleurs photos seront sélectionnées par les professeurs et seront affichées (en format professionnel) dans la galerie d’art 203. Lors de l’inauguration, les élèves retrouveront les marins pour leur présenter leur travail. Ce sera aussi un moment d’échange entre les marins et les élèves.

Avis des élèves sur ce voyage: 

« Ce fut un voyage exceptionnel que nous n’aurons probablement jamais la chance de renouveler. Nous avons eu l’occasion de discuter avec les marins lors de soirées débat. C’était très intéressant !

« Ce fut une leçon de vie car ces militaires arrivent à vivre des mois sans des choses dont nous ne nous passerions pas. »

« J’ai trouvé ce voyage super, c’était incroyable de pouvoir y participer car peu de personnes peuvent aller sur des bateaux aussi impressionnants »

Une belle histoire…

Le chauffeur de bus, Antoine, a assisté avec les élèves à toutes les visites. Il s’est découvert une passion pour la marine ! Il pense sérieusement se reconvertir pour devenir marin. Les troisièmes le retrouveront également lors de l’inauguration de la galerie 203.

Rédigé par Chloé Kaouadji.

Une nouvelle professeur d’espagnol

 

Cette année nous avons eu le plaisir d’accueillir une nouvelle professeur d’espagnol, Mme Abela-Esquiva qui nous vient tout droit d’Espagne. Nous l’avons interviewée pour avoir quelques informations sur elle.

 

Pourquoi avez-vous voulu devenir professeur ?

J’ai toujours aimé l’enseignement, apprendre aux autres ma culture et ma langue. J’ai décidé il y a quelques années de faire le concours, un Master et de devenir professeur. J’ai toujours aimé partager et apprendre.

Pourquoi avoir choisi la France pour enseigner ?

Je suis espagnole et en Espagne je ne pouvais être que professeur de français. Je préfère partager ma culture et ma langue. C’est plus facile de partager ceci et ce n’était qu’en France que je pouvais le faire. J’ai voulu aussi améliorer mon français. Je suis restée puis j’ai fait mon concours, mon Master.

Que pensez-vous de l’enseignement français ?

Je ne connais pas tout à fait l’enseignement français, je ne connais que ma discipline, l’espagnol. Je trouve que c’est intéressant d’apprendre différemment alors qu’en Espagne ce n’est pas pareil.

Quelles sont les différences entre un collège français et un collège espagnol ?

En Espagne, nous n’avons pas de collège, nous avons que le lycée. Le collège et le lycée en Espagne cela va de la sixième à la terminale. Toutes les classes sont regroupées en un seul établissement. C’est déjà différent. Cela change aussi l’horaire et l’emploi du temps. Nous commençons à huit heures du matin en Espagne et nous finissons à quinze heures. Nous n’avons pas toute la journée. C’est vrai que nous mangeons à quinze heures. En ce qui concerne les langues, il n’y a pas d’option langue. Nous faisons de l’anglais et puis on peut faire du français mais ce n’est pas une option. Tout ce qui est de l’échange, cela dépend de la région. Nous avons, en Espagne, des régions bilingues comme la Catalogne et le Pays Basque. L’emploi du temps est différent mais nous avons les mêmes matières comme la technologie, la physique, l’histoire… C’est à peu près pareil.

Est-ce que vous vous plaisez au collège Félix Tisserand et trouvez-vous qu’il y a une bonne entente entre professeur ?

Je suis très contente d’être là. C’est ma première année et mes premiers mois en tant que professeur. Je ne connaissais pas d’autres collèges mais je pense que je suis bien tombée. C’est un bon collège avec de bons élèves. Surtout mes collègues sont sympathiques. Je me sens protégée parmi les autres professeur et surtout parmi mes collègues d’espagnol. J’ai beaucoup de chance. Il n’y a pas que les professeurs mais aussi les principales. Je me sens plutôt bien dans ce collège.

Avez-vous une passion ? Si oui, laquelle ?

J’adore danser. J’ai toujours dansé depuis toute petite mais j’ai arrêté.

De quelle région espagnole venez-vous ?

Je viens d’Alicante, au sud-est de l’Espagne, sur la côte méditerranéenne.

 

Article rédigé par Roman Calvel

 

A l’ouest rien de nouveau

A l’ouest rien de nouveau est un livre de Erich-Maria Remarque. C’est un livre allemand paru en 1929 donc après la Première Guerre mondiale.

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Ce livre a fait fureur lors de sa parution car celui-ci montre l’atrocité de la Première Guerre mondiale par le biais du narrateur.

Après sa sortie, Erich-Maria Remarque s’est fait pourchasser par les nazis et les personnes contre les intellectuels. Certains exemplaires de son oeuvre ont subit des autodafés (=bûchés de livres).

L’histoire raconte la vie d’un jeune Allemand : Paul Bäumer. Il a été endoctriné par son professeur pour aller combattre sur le front.

Paul se rend très vite compte que la vie sur le front n’est pas aussi confortable qu’on lui avait raconter. Il découvre les atrocités de la guerre avec ses amis…

Avis de la rédac’ :

Nous avons trouvé ce livre très enrichissant. Il ne cache aucun détail des horreurs de la guerre. Ce livre convient parfaitement au programme de 3ème car il est dans la continuité du programme scolaire d’histoire.

On vous le recommande malgré ses longs passages descriptifs qui peuvent parfois être compliqués à lire. On vous conseille de vous accrocher car c’est un témoignage des monstruosités de la guerre.

 

Rédigé par Lucile Dupont

Une pro à l’atelier théâtre

Madame Anouk Vadot est une comédienne professionnelle qui aide les élèves du groupe expérimenté de théâtre à réaliser leur pièce. En effet, au collège il existe deux groupes de théâtre : le groupe débutant et le groupe expérimenté.  Le groupe expérimenté est constitué d’une quinzaine d’élèves passionnés de théâtre. Ils sont encadrés par deux professeurs : Mesdames Heitzmann et Bourquin.

Anouk Vadot souhaite aider les élèves à réaliser leur pièce nommée « La petite histoire ». En étant enfant, elle avait fait des cours de théâtre de 7 à 12 ans. Lorsqu’elle avait 17 ans, elle était sportive de haut niveau dans le domaine de l’athlétisme. A ses 18 ans, Anouk Vadot est entrée dans une faculté de biologie et a ensuite préparé un diplôme de théâtre à Besançon. Elle intervient très rarement dans des établissements scolaires. Elle aime apprendre aux élèves le rapport au corps qui est nécessaire pour un bon comédien.

Qu’est-ce que vous aimez lorsque vous intervenez dans des collèges ?

C’est très différent de ce que je fais d’habitude. Je dois adapter ma rigueur et savoir expliquer aux élèves. Il faut être pédagogique et comprendre la différence entre les élèves et les adultes.

Rédigé par Chloé Kaouadji

En 6e on se préoccupe de l’environnement

Lors d’un cours de SVT, des élèves de 6°5, Lou Taboni ; Maëlle Dino ; Honorine Giboullot ; Gabrielle Ferrand, se sont senties concernées par la protection de la nature. De là est née l’idée de créer une association qui pourrait sensibiliser leurs camarades. Vous pourrez découvrir leurs conseils très bientôt sur nightnews !

Article rédigé par Lisa Job.