Archives de catégorie : Géographie

Le Planétarium

Dans le planetariume au plafond il y a un écran est par terre il y a une maquette de machine au planétarium  nous avons appris qu’il y avait peut-être neuf planètes 153 million d’etoile dans la galaxie 155 million de Galaxy le soleil chauffe à 6000 degrés le soleil = une étoile moyenne chauffe maximum de 34000 degrés. Dans le système solaire il y a 5 planète gazeuse Vénus et très incroyable invivable parce que écouter et exposer au soleil il fait très chaud l’autre côté les pas exposer au soleil et il fait très froid sur Mars nous croyons qu’il fait très chaud mais en fait il fait froid mais pas partout sur Mars il y a aussi des volcans télé sur Mars il y a quelque chose d’extraordinaire avant il y avait des marées maintenant il n’y en a plus de traces d’eau plus rien il y a un volcan énorme sur mars si on le découper la distance du volcan prendrait toute la france Jupiter est très dangereuse parce que quand il pleut au lieu d’être de la pluie c’est de la l’acide.

Au total si ont les compterais toute il y aurait 88 constellation dont les principales sont la Grande Ours et la Petite Ours.

Le Dragon,le Lion,le Petit Lion,le Lynx,le Corbeau,le Cancer,le Bélier,le Lézard,la Girafe,le Petit Chien etc…

constellation

La vie dans le centre d’hébergement

Lundi soir nous avons découvert le centre d’hébergement. Quand nous l’avons vu nous étions tous surpris : le centre d’hébergement était super grand, il y avait deux maisons. L’une des maisons était où on dormait et l’autre où on mangeait. Le premier jour, nous avons dû installer les tables. Nous avons découvert nos chambres. Les chambres était grandes ; dans la chambre de mon groupe et moi, il avait deux lits superposés et deux lits séparés. Il y avait aussi deux pelouses, l’une où il y avait des jeux et du sable et l’autre une grande pour jouer au foot. Arthur a emmené deux ballons. On a beaucoup joué au foot le soir quand on rentrait des activités. Mercredi soir, les neveux de Xavier sont venus au centre d’hébergement avec le frère et les parents de Xavier.

Auteur : Baptiste (CM2)

Le jardin des plantes

Le vendredi 1er juillet de notre voyage, nous sommes allés au Jardin des plantes de Nantes. Nous sommes arrivés à l’Orangerie. Là-bas nous avons vu un poussin allongé par terre avec tous les pompons sur lui, et sur les murs il y avait plein de visages de poussins avec des décors autour. Des visages de poussins étaient aussi exposés dehors sous forme de bannières. à l’intérieur de l’Orangerie, il y avait le Mange-poussins. C’est un personnage de Claude Ponti qui dévore les poussins. Il fallait neutraliser le Mange-poussins. Dix élèves avaient une balle de tennis ; ils faisaient entrer la balle dans un tuyau. Ils tournaient ensuite la manivelle : une grande chaine de vélo était actionnée et à un endroit de la chaîne était fixée  une sorte de coupelle qui ramassait les balles à la sortie du tuyau. En haut, un autre tuyau recevait les balles et les faisait tomber jusqu’au bout du tuyau où elle étaient stoppées. Une autre manivelle était tournée par un élève pour faire tomber les balles sur un tonneau pour bombarder le Mange-poussins.

Auteur : Cristiano (CM1)

Le musée de l’imprimerie

Lundi 27 juin, nous avons fait une journée intéressante avec la visite du musée de l’imprimerie. On a vu des lettres à l’envers, c’est normal parce qu’après, dans la machine, les lettres reçoivent de l’encre et tamponnent une feuille ce qui remet la lettre à l’endroit. On peut imprimer de jolis textes comme l’hommage au texte Le nègre de Surinam que nous avons écrit en classe et qui a été imprimé devant nous.

imprimerie

Auteur : Ambre (CE2)

 

Nous sommes allés au musée de l’imprimerie voir d’anciennes méthodes d’imprimerie comme les caractères mobiles. Les caractères mobiles ont été inventés par Gutemberg au XVe siècle. Le principe : les imprimeurs avaient une casse pour ranger les caractères mobiles, ils devaient la connaître par cœur. Ils disposaient les caractères sur un composteur pour écrire les mots et les phrases. Une fois qu’une phrase était terminée, ils fermaient le composteur ; ils devaient le prendre avec deux doigts et serrer très fort en enroulant de la ficelle sans que tout tombe par terre. Ils recommençaient jusqu’à finir une page. Tous les composteurs étaient disposés les uns au dessus des autres de la première à la dernière phrase. Ensuite, ils encraient les lettres et imprimaient sur une feuille.

La linotype

La linotype utilisait les caractères mobiles : on tapait sur un clavier, les lettres descendaient, à la fin de la phrase l’imprimeur vérifiait l’orthographe. Si l’orthographe était bon, la matrice descendait et recevait un alliage sorti d’un chaudron chauffé à 280°. Il durcissait très vite et on disposait d’une phrase. Les matrices retournaient à leur place et l’imprimeur recommençait ainsi de suite jusqu’à avoir toutes les phrases qui constituaient son texte. Nous avons eu la possibilité d’avoir une démonstration de la linotype.

linotype(source Wikicommons)

L’imprimeur nous a aussi fait une démonstration de la presse à cylindres. C’est une énorme presse qui servait dans le temps à faire des journaux ou des affiches et des livres.

Le guide a aussi imprimé avec une presse à platine le texte que nous avons fait en classe. Il en a tiré 31 exemplaires.

Auteur : Arthus (CM1)

 

Les Machines de l’île

À Nantes on est allés aux Machines de l’île. C’est un endroit où il y a beaucoup de machines comme l’éléphant. L’éléphant est un peu comme la mascotte de l’île. Il y a aussi un carrousel avec trois parties : une représente la surface de l’eau, une autre les abysses et la troisième les fonds marins. Dans ce carrousel, nous avons fait un tour à la surface de l’eau (étage supérieur). Moi j’étais sur les chevaux marins : la moitié du corps était un cheval et l’autre moitié une sirène. Il fallait que je fasse bouger les deux pattes avant en utilisant une manette à gauche et à droite. Dans le manège ce sont les visiteurs qui actionnent les éléments.

Dans 5 ans, sur l’île des machines sera installé un Arbre aux hérons.

Auteure : Oriane (CE2)

 

Nous avons vu les photos du dragon-cheval qui crache de l’eau et du feu. Après nous sommes allés dans les ateliers de construction. C’est là où sont construits les prototypes des machines qui seront installées dans l’Arbre aux hérons. Dans les ateliers toutes les machines sont de taille réduite. En premier, ils nous ont montré comment fonctionnaient les hérons. Ils ont pris deux cobayes dans le public. Enzo a été choisi. Le héron sera très grand. Dans l’Arbre aux hérons il y en aura deux. Après nous avons vu la fourmi géante. Elle a porté 5 cobayes : Marie-Noelle, Baptiste et Oriane l’ont manœuvrée. Ensuite nous avons vu l’araignée géante. En dernier, nous avons vue la chenille ; en cobaye a été choisi Louis. La chenille est spéciale car elle a un exosquelette. Un exosquelette est squelette extérieur pour les animaux qui n’en possèdent pas à l’intérieur (comme les crevettes). Cette chenille est aussi spéciale car la machine est son squelette intérieur.

Auteure : Enora (CE2)

 

Notre journée de mercredi à Saint-Brévin

Le matin nous sommes restés au centre d’hébergement. L’après-midi nous avons fait du char à voile. Au début, pour apprendre, on devait faire un parcours. Le voici :

parcours 1

Après on avait un autre parcours.

parcours 2

Pour moi ce n’était pas du tout compliqué, en revanche pour Agnès c’était un peu plus compliqué car au moment de tourner au drapeau jaune, elle est tombée sur les deux roues arrières (hi ! hi !).

Auteure : Elsa

 

Le char à voile a trois roues, une voile et une corde qu’on appelle un bout. Si tu veux aller vite, il faut tirer la corde pour tendre la voile. Si tu es à pleine vitesse, pour t’arrêter il faut lâcher la corde.

Auteur : Fabio (CE2)

 

Comment faire du char à voile ?

Le char à voile n’est pas difficile mais il faut quand même être très prudent car si on va trop vite ça lève la roue et on peut se blesser très fort. Passons aux explications : dans un char à voile il y a un palonnier pour poser les pieds et diriger de droite à gauche, il y a aussi une bout et quand on tire dessus ça nous permet d’avancer. Il y a un autre détail : si vous voulez vous reposer un peu, il faut mettre le char face au vent. Il faut porter des gants pour en faire.

Auteure : Marie-Noëlle (CE2)

 

Mercredi, nous sommes partis en bus sur la plage de Saint-Brévin. Deux personnes nous ont accueillis et nous ont expliqué les règles et le fonctionnement d’un char à voile. Ensuite, on s’est mis par binôme selon notre gabarit. Puis l’un des deux messieurs nous a fait un schéma sur le sable.

Nous avons réalisé ce partir une ou deux fois chacun. Puis la même personne nous a fait un nouveau parcours :

Auteur : Matys (CM2)

La base sous-marine

Nous sommes allés dans la base sous-marine à Saint-Nazaire. Une base sous-marine est un bâtiment où on rangeait les sous-marins pendant la Seconde Guerre mondiale. DSCN5219

Elle a été contruite pour les habitants de St-Nazaire pour les Allemands. Ils ont accepté de la construire parce qu’ils gagnaient de l’argent alors que pendant la guerre, ils avaient peu de travail. Ils essayaient de faire quelques actions de sabotage (perdre du temps, mettre trop de sable dans le béton pour que les murs s’écroulent vite…). À un moment les Allemands ont constaté que les ouvriers français faisaient n’importe quoi alors ils les ont mieux surveillés. DSCN5230

Nous avons appris qu’il y avait 14 alvéoles, dans la 1,2,3,4,5,6 on pouvait ranger 1 sous-marin alors que dans la 7,8,9,10,11,12,13 et 14 on pouvait ranger 2 sous-marins ce qui fait un total de 20 sous-marins rangés. Après nous avons monté les escaliers pour  voir comment le paysage était de haut et on voyait la cheminée d’une ancienne usine et les balises rouge (tribord) et verte (babord) que nous avions vues dans la visite du port le matin.

Sur le toit de la base, le paysagiste Gilles Clément a fait un jardin : il a vu que la végétation poussait naturellement sur le béton. Il a eu l’idée de faire amener de la terre et des cailloux et de laisser la nature pousser librement. Ce jardin porte le nom de Jardin étiquettes. Quelquefois des collégiens viennent noter sur des étiquettes le nom des plantes qui ont poussé. Plus loin sur le toit, Gilles Clément a fait pousser des trembles (arbres dont les feuilles bougent beaucoup même quand il n’y a pas beaucoup de vent) dans des grands bacs.

Auteure : Elsa (CE2)

Le musée de l’imprimerie

En arrivant à Nantes nous sommes allés au musée de l’imprimerie où nous avons vu des machines à écrire et à imprimer. Puis nous avons vu fonctionner une presse à main, une presse à papier et une presse à cylindre (c’est une très grande machine !). Ensuite, nous avons vu comment utiliser des gravures taille-douce. Il faut mettre de l’encre sur une plaque de cuivre gravée et enlever l’encre avec un chiffon puis la paume de la main avec du blanc de Meudon. Ensuite, on pose la plaque sur un feutre et un papier humide sur la plaque. Enfin il faut presser et  la gravure apparaît sur le papier.

DSCN5330

Voici le texte que nous avions rédigé en classe lors de notre travail sur le commerce triangulaire et l’abolition de l’esclavage. Il a été imprimé sous nos yeux !

Auteure : Enora (CE2)

Reine la jument

Reine est une jument du centre d’hébergement à Chéméré. Elle a 10 ans sa propriétaire l’a depuis deux mois. Cette jument a fait des courses, des courses au galop. Elle est bai (marron avec la crinière noire). Elle est un peu peureuse avec les gens qu’elle ne connait pas. Moi je peux la carresser car je suis cavalière et quand la propriétaire est venue j’ai pu la carresser en gagnant sa confiance. La jument est un peu attaquée par les mouches mais grâce à sa queue qui fouète et à sa peau qui vibre elle peut les faire fuire.