8 réflexions sur « Auschwitz – Louis Grillet »

  1. Voilà. Il y a tous ces écrivains qui se sont posé la question: peut-on encore écrire après Auschwitz? Tu y réponds à ta manière et tu choisis le dessin, comme Wolfgang Hildesheimer ou Peter Weiß, quand les mots se heurtent à un mur un peu trop difficile à franchir. Et c´est vrai que nous regardions beaucoup par terre, à chercher une trace d´eux dans ce sol tellement foulé.

  2. Vos pas… qui marchent sur leurs pas. Des pas effacés mais des pas ancrés.
    Des pas qui ont été, des pas qui ne sont plus, des pas qui sont, des pas qui seront encore.

    La symbolique est forte et vaut mieux que n’importe quelle avalanche de paroles.

    Chapeau bas, Louis.

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