Réfection des escaliers : travaux d’élèves en cours !

Les travaux continuent au gré des intempéries et des stages des élèves.

Photos 2-3-4-5 : Démolition de l’ancien escalier au BRH.

2

3

4

5
Photos 7- 13-15 :  Préparation de la plate forme pour le massif de fondation supérieur (réglage et compactage).

7

13

15
Photos 9 – 12: Mise en place des chaise d’implantation des 2 massifs intermédiaires.

9

12
Photos 17 – 25: coulage du massif supérieur :

25

Thierry, journaliste d’un jour

Les BTS en écriture : lycée et utopie

Voici une nouvelle utopie sur le lycée, écrite par Eric, en 1BTS Bat. Bonne lecture !

Utopie du lycée les Marcs d’Or

Le Lycée les Marcs d’Or, lycée des métiers du bâtiments aurait une architecture simpliste mais son fonctionnement serait complexe.

On amènerait les élèves du lycée dans des navettes depuis la base de la colline. Ils prendraient un escalier de marbre taillé par les élèves eux-mêmes et ils admiraient chaque fois les détails et les finitions de leur travail.

L’entrée de l’école se ferait dans le calme avec une musique mélodieuse et envoûtant tout leur corps et leur esprit. La précipitation n’existerait plus, les élèves seraient calmes, joyeux et heureux de leurs établissements scolaires. Il incarnerait le berceau des personnes instruites et matures. Son architecture serait classique, les anciennes traditions des bâtiments romains referait surface sur la façade avant du bâtiment. Différentes statues orneraient la cour intérieure, ce ne serait pas le travail d’un artisan mais celui de jeunes apprentis qui débuteraient. Leur travail serait soigné avec des formes bien définies, la musculature des hommes et les formes féminines ressembleraient aux travaux des grands sculpteurs de notre ère. Les lycées de la ville jalouseraient ces futurs Rodin.  La façade soulèverait fièrement la devise de ce lieu « Le futur t’appartient ».

L’intérieur ferait opposition à l’extérieur, un monde moderne s’inscrirait entre les murs porteurs. Des tableaux, des devises de grands hommes et femmes seraient affichés sur les murs. Des LED joncheraient les différents plafonds et selon l’heure du jour la couleur de la lumière s’adapterait afin d’avoir un rendu des plus envoûtants. De nombreuses baie vitrées arpenteraient les couloirs. Il y aurait plus de verre que de béton. Le béton ne serait pas visible car sa couleur refroidie les âmes. Des couleurs primaires habilleraient les murs de l’enceinte des Marcs d’Or. Les différents murs supporteraient le poids de fenêtre de forme différentes (rectangulaire, triangulaire, ovale etc…). Chaque bâtiment et salle porterait le nom de visionnaires, des physiciens, des musiciens, des écrivains. Chaque problème se réglerait sous forme de débat au sein d’un grand amphithéâtre extérieur afin de permettre aux élèves de prendre la parole.

Les profs contents, rapporteurs d’un jour

Les 3e aux Ecrans de l’Aventure

Le Vendredi 18 octobre dans le cadre du Parcours Culturel, les élèves de 3e ont participé à l’opération les “Ecrans de l’aventure”.

Depuis 1992, la Ville de Dijon accueille le rendez-vous cinématographique désormais incontournable des aventuriers.

C’est tout d’abord un festival destiné à proposer au public quinze films sélectionnés par un jury de professionnels. Diffusés dans deux salles de cinéma dijonnaises, l’Olympia et le Darcy, ces œuvres inédites et présentées lors d’avant-premières font découvrir un certain nombre de portraits d’aventuriers ou d’aventures particulières : dépaysement et émotions garantis !

Chut ! Ça commence !

Cette année, les élèves de 3e des Marcs d’Or ont pu assité à la projection du film Vertige aux Marquises : Figure de la slackline en France et à l’international, Nathan Paulin a embarqué sur Maewan, le voilier d’Erwan Le Lann, avec Antony Newton, direction les marquises.

Image vertigineuse tire du film

Objectif, être les premiers à réussir une highline entre les pics rocheux de ces îles du bout du monde. Un film hallucinant avec une highline de 370 mètres de longueur sur des sommets encore vierges, au cœur de l’océan Pacifique.

Il faut avoir le cœur bien accroché

lls ont découvert comment aller d’un point A à un point B, quand le chemin paraît impossible à emprunter… Un faux pas et c’est la chute, inévitable… mais aussi du BASE jump, sport extrême consistant à sauter depuis des objets fixes équipé d’un parachute et non depuis des avions. 

Juste avant que la lumière ne s’éteigne…

Un travail en amont avec leur professeur de Français avait été réalisé sur le mot “Aventure” et toute sa richesse. Cette projection sera suivie d’une écriture d’invention dans laquelle les élèves seront les auteurs et héros d’une aventure.

La classe de 3ePP, équipe de journalistes d’un jour

Concours texte de chanson : à vos plumes !

 

14e édition du concours « Chansons sans frontières »

Vous aimez écrire, composer, chanter, jouer avec les sonorités de la langue française ? Le concours « Chansons sans frontières » est pour vous !

Gratuit, créatif et facile d’accès, ce concours international et individuel est ouvert aux participants francophones de tous âges et de tous pays (sauf personnes résidant en France).

En lien avec « Dis-moi dix mots au fil de l’eau » , vous êtes invité à écrire un texte de chanson en français, autour du thème de l’eau.

Comment participer ?

La date limite d’inscription est fixée au 22 décembre 2019.

Retrouvez ici toutes les informations sur les modalités de participation, conseils d’écriture, etc.

5 prix sont attribués :

  • 1er prix Normandie pour la Paix, ouvert à toute personne de plus de 20 ans. Dotation : séjour d’une semaine en France pour le lauréat.
  • 2e Prix, ouvert à toute personne de plus de 20 ans. Dotation : 500 euros.
  • Prix Jeune Public, ouvert aux moins de 20 ans. Dotation : 300 euros.
  • Prix français langue maternelle, ouvert aux participants de plus de 20 ans dont au moins l’un des deux parents est de langue française maternelle. Dotation : 150 euros.
  • NOUVEAU : Prix « Dis-moi dix mots », pour un texte comportant au moins 6 des 10 mots, ouvert à tous. Dotation : 400€ + une capsule vidéo.

Ecrivez et venez lire ou/et chanter vos textes au CDI ! (aide possible à l’écriture au besoin :o)

Le documentaliste, journaliste-copieur d’un jour

 

1B TPOrgoCB : activités autour de l’Opéra « La Finta Pazza »

Dans le cadre du festival Modes de vie, les élèves de la classe de 1ère  BP TP ORGO ont été choisis pour travailler avec l’Opéra de Dijon. Ils devront réaliser, en binôme, 10 maquettes de décor pour l’opéra italien du 17eme  siècle « la Finta Pazza ». Le thème qui y est abordé est le mythe d’Achylle et la guerre de Troie.

Le lundi 5 novembre 2018 les élèves ont été initiés à la manipulation de l’aiguille par la plasticienne et costumière Julie Lardrot.

Le mardi 6 novembre, ils ont assisté à une présentation par Camille Pernelet (Attachée à l’action culturelle à Opéra de Dijon) de l’oeuvre qui sera jouée à l’Opéra.

 

Les élèves visiteront l’Auditorium avec leurs enseignantes de français et d’arts appliqués qui co-animent ce projet, visiteront les ateliers décors et costumes de l’Opéra, rencontreront  le directeur Laurent Joyeux et le metteur en scène Jean-Yves Ruf, et exposeront leurs maquettes au Grand Théâtre. Le vernissage aura lieu le lundi 04/02/2019 à partir de 18h30.

Tess et Maxime, journalistes d’un jour

Mise à jour : retrouvez l’article dans la La dernière lettre d’informations CAScAD consacrée aux Arts Vivants

 

Théâtre en résidence, deuxième partie

Les élèves impliqués dans la résidence ont retrouvé avec plaisir le metteur en scène Jean-Philippe Naas pendant toute cette semaine dédiée à la lecture, à l’écriture et à la mise en scène.

La photographe Roxanne Gauthier a mis son talent dans la réalisation de portraits des élèves qui se mettent en scène dans l’établissement, tandis que la musicienne Julie Rey enregistrait les textes écrits par les élèves lors des séances avec Jean-Philippe.

Ce travail s’articulait autour des expériences de vie, fictives ou non, des élèves, à différents moments de leurs vies, en textes courts, puis en développant un de ces moments dans un texte long.

Etude d’un extrait de La Rivière pour imaginer une mise en scène
Ces textes donneront du grain à moudre à Denis Lachaud qui s’en servira pour écrire la pièce commandée par Jean-Philippe.
Les élèves allophones de la classe d’UPEAA, écrivent des textes depuis le début de l’année pour réaliser un webdocumentaire expliquant ce qu’est l’UPE2A.  Ils ont enregistré directement textes musique avec Julie et continué avec Roxanne le travail d’images, tout en se mettant en scène dans des situations proposées par Jean-Philippe. D’ailleurs, certaines séquences de la première semaine de résidence se retrouvent déjà dans le webdocumentaire ! (dont je vous mettrai le lien lorsqu’il sera mis en ligne).
Ce travail de théâtre en résidence trouve son écho et son reflet dans les propositions faites par Jean-Philippe  dans le cadre des 50 ans de la Fontaine d’Ouche : une présentation du travail de la compagnie avec le lycée dans une vidéo constituée de photos, de paroles d’élèves enregistrées et de musique originale. Des élèves d’horizons différents qui bâtissent ensemble leur avenir et le nôtre, dans un même endroit, c’est toute l’histoire de la Fontaine d’Ouche que l’on retrouve concentrée au lycée…
Le documentaliste, journaliste d’un jour

Théâtre en résidence, deuxième partie en avril

Jean-Philippe Naas, de la compagnie en attendant… et Denis Lachaud reviendront au lycée fin avril,  accompagnés par la photographe Roxanne Gauthier et la musicienne Julie Rey.
L’idée au cours de la semaine d’avril sera de continuer le travail d’écriture avec les classes « classiques », puis de les enregistrer et en même temps de les photographier.
Avec la classe d’UPEAA, qui aura déjà écrit en amont, ils enregistreront directement les textes et la musique avec Julie et continueront avec Roxanne le travail d’images.
Jean-Philippe a écrit le texte de présentation du travail de la compagnie avec le lycée (vidéo constituée de photos, de paroles d’élèves enregistrées et de musique) dans le cadre des 50 ans de la Fontaine d’Ouche :
« Les bâtisseurs
C’est un portrait.
Un portrait à plusieurs visages, plusieurs voix.
Ils seront ébénistes, menuisiers, charpentiers, tailleurs de pierre, maçons, peintres…
Certains viennent tout juste d’arriver dans notre pays.
En attendant, ils sont au lycée des Marcs-d’Or.
Et de leur fenêtres, ils voient le quartier de Fontaine d’Ouche.
Ils le dominent, le traversent et l’habitent pour certains.
En tant que futurs bâtisseurs, ils participent à son éternelle construction. »
Le travail sera en effet visible à partir du mois de juin dans divers endroits du quartier.
Olivier, journaliste d’un jour

Un mini stage au lycée en menuiserie en 4e ? C’est possible !

Les élèves de 4e peuvent aussi faire des stages, et en menuiserie au lycée s’ils le désirent. Ainsi, 11 élèves (dont cinq filles) travaillent sur un objet à confectionner (un jeu de solitaire) durant les 3 heures qu’ils feront en atelier pendant les six semaines que dure leur stage. Avec le plan donné par l’enseignant, ils doivent tracer, scier, percer, poncer… pour réaliser un objet dont ils seront fiers ! Un bon moyen de savoir si le travail du bois les intéresse !

 

Didier, journaliste d’un jour

Ateliers bois : coopération franco-allemande

Les élèves menuisiers et ébénistes français et allemands travaillent toute cette semaine ensembles dans les ateliers. Ils planchent sur des objets communs dont les plans ont été élaboré conjointement par les enseignants des deux côtés de la frontière lors de productifs échanges et visites.

 

Dominique, journaliste d’un jour