Le trajet d’un migrant de Kaboul à Paris

Le parcours d’un migrant voulant parvenir en France est semé d’embuches.

Plusieurs événements peuvent pousser des gens à quitter leur pays. Par exemple, les impôts trop cher, le manque de travail ou encore la guerre. Certains partent avec des amis, d’autres avec leur famille, mais tous ont un même but : trouver une vie meilleure.

« Selon un décompte de L’organisation internationale pour les migrations, en 2016, 5000 personnes sont mortes ou disparue en mer Méditerranée dont 666 venaient de Libye. »

Le trajet dure très longtemps et coute très cher (Un voyage Afghanistan/France peut coûter 20 000 dollars et durer 2 mois, alors que dans la légalité, il aurait fallu environ 10h et 800 €.)

Partir du pays : il faut passer la frontière ce qui n’est pas simple. Après il faut traverser la mer. D’après le témoignage d’Ahmed al-Ghazali, il faut trouver un passeur et souvent il faut attendre dans des appartements insalubres et trop petit pour le nombre de personne logé. Ensuite, la traversée est rude car énormément de raison peuvent faire chavirer (au sens propre comme au figuré) l’embarcation. Par exemple la mer agitée, le bateau trop petit pour un trop grand nombre de migrants ou la déshydrations. Un fois la traversée effectuée, les migrants sont accueilli par des volontaires de la croix rouge. Il faut alors pour eux obtenir le statut de réfugié.

Source : Sputniknews*

Alors que les Afghan sont nombreux à demander l’asile en Europe, un trafic de faux passeports syriens s’est instauré, notamment en Turquie. L’objectif ? Faciliter l’entrée dans l’Union européenne (UE) des immigrants.

Il faut être vigilant par rapport à de possibles terroristes. Il y a des personnes qui aujourd’hui sont en Turquie, achètent des faux passeports afghan parce qu’elles ont évidemment compris qu’il y a un effet d’aubaine puisque les Afghan obtiennent le droit d’asile dans tous les États membres de l’Union européenne. Les personnes qui utilisent les faux passeports afghans souvent s’expriment en langue arabe. Elles peuvent être originaires d’Afrique du Nord, du Proche-Orient mais elles ont plutôt un profil de migrant économique

(Carte réalisée par nos soins)

On peut remarquer que les frontières sont traversées à pied.

Sources : Le point, Europe 1, le livre d’histoire-géographie (Lelivrescolaire)

Vicky A. & Lisa C.

Une réflexion sur « Le trajet d’un migrant de Kaboul à Paris »

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *